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Calendrier surchargé : Al-Khelaïfi remet les pendules à l’heure

Publié le 08/12 par Antoine Talty
Nasser al-Khelaïfi, président du PSG, a récemment évoqué les défis que pose le calendrier footballistique. En réponse aux critiques des clubs anglais, il insiste sur l’importance de la gestion des effectifs. Sa prise de position s'est faite lors du tirage au sort de la Coupe du monde des clubs à Miami.

Lors d'une conférence tenue à Miami, le président du Paris Saint-Germain, Nasser al-Khelaïfi, a encore une fois exprimé son ras-le-bol face aux débats incessants autour de l'alourdissement du calendrier. Selon lui, la situation actuelle exige que les entraîneurs se sortent les doigts du nez et commencent à gérer leurs effectifs de manière plus intelligente. "Notre entraîneur n’est pas du tout en panique", a-t-il lâché, faisant référence aux préoccupations relatives aux blessures qui circulent comme une rumeur de marché. Mais avouez-le, critiquer sans offrir de solutions, c'est un peu facile, non?

La réaction des clubs anglais : une tempête dans un verre d'eau ?

Les dirigeants de la Premier League s’enflamment face aux nouvelles compétitions planifiées par la FIFA. La colère gronde, mais Nasser al-Khelaïfi a des choses à dire à ce sujet. "En France, nous avons 18 équipes en Ligue 1, et nous gérons très bien notre Coupe de France", a-t-il déclaré, comme s’il se moquait royalement de leurs problèmes. Il est temps que ces clubs se rendent compte que jouer à la roulette avec leurs effectifs ne résoudra rien. L'orgueil mal placé n'amène que des défaites, même sur le long terme.

Le PSG : vers une gestion exemplaire ?

Il est donc clair que le PSG, avec son approche axée sur l’optimisation des performances, pourrait bien donner une leçon à la Premier League sur la gestion des joueurs. Al-Khelaïfi prône un système où les entraîneurs ne doivent pas juste critiquer, mais aussi agir. Imaginez si vraiment chaque club prenait ce conseil au sérieux ! Peut-être que le football en sortirait grandi, au lieu de rester coincé dans un cycle de plaintes et d'accusations. À méditer, chers concurrents !